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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 19:07

 

 

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Honoraires abusifs : les associations de patients espèrent plus de contrôle


rédigé le 24 février 2012 par Géraldine Zamansky, mis à jour le 24 février 2012

 

Tandis que l'Ordre des médecins et l'Assurance-maladie s'accusent réciproquement d'être responsables des abus d'honoraires persistants de certains médecins hospitaliers, les associations de patients pointent des responsabilités partagées et appellent à une meilleure application des moyens de contrôle existants.

 

 

"Nous sommes surtout contactés, après coup, par des personnes qui ont l'impression de ne pas avoir vraiment eu le choix et se demandent si c'était légal", raconte Marc Paris, responsable de l'animation des réseaux du Collectif Interassociatif Sur la Santé (CISS). "Ils sont choqués devant l'existence de ces activités à l'hôpital et de la différence des délais de prise en charge entre le côté privé et le côté public."

L'association leur explique alors qu'il n'y a rien d'illégal sur le fond, mais que l'écart entre les délais est anormal et qu'ils auraient dû avoir une meilleure information, avec un devis et un délai de réflexion. "Le facteur temps est particulièrement choquant lorsqu'il se traduit par une perte de chance", poursuit Marc Paris.

L'enquête du magazine 60 millions de consommateurs du mois de mars 2012 sur les dépassements d'honoraires abusifs de la part de médecins hospitaliers ayant une clientèle privée (lire "Des tarifs chirurgicaux abusifs à l'hôpital public") a ainsi relevé un exemple inquiétant dans la prise en charge d'un cancer…

 

 

 

Responsabilités partagées


Pourtant, souligne responsable associatif, "les outils de contrôle existent théoriquement avec les commissions d'activité libérale au sein des établissements… Nous comptons sur l'arrivée des représentants des usagers en leur sein depuis un an pour faire en sorte qu'elles fonctionnent réellement." Et de relever "les responsabilités partagées par l'Assurance-maladie, l'Ordre des médecins et les directions hospitalières" dans la persistance d'abus.

Car les honoraires libres jouent en quelque sorte un rôle de soupape, de compensation générale en cette période de restriction financière : la Sécu fermait jusqu'ici les yeux pour mieux "faire passer" l'absence de revalorisation des actes remboursés, l'Ordre des médecins se gardait alors bien d'être "plus royaliste que le roi" et ne contrôlait pas plus qu'en ville le "tact et la mesure" théorique des pratiques, tandis que les directeurs d'hôpitaux ont toujours apprécié les pourcentages de l'activité privée reversés dans leurs comptes... "Ce n'était visiblement pas prioritaire jusque là, mais cela risque de mettre en danger l'image des hôpitaux au point d'être finalement remis en cause, alerte Marc Paris. Il faut surveiller cette activité et oser mettre les pieds dans le plat en cas d'excès, même si c'est un grand médecin."

 

 

Des "dépassements démesurés"


Les temps changent certainement puisque l'Assurance-maladie demande aujourd'hui des comptes aux praticiens soupçonnés d'abus (lire "Des tarifs chirurgicaux abusifs à l'hôpital public"). Dans une interview au journal Le Parisien du 23 février 2012, son directeur général a d'ailleurs regretté la passivité de l'Ordre des médecins en la matière.

Celui-ci a répondu le jour même dans un communiqué qu'il n'en était rien. Au contraire "conscient des problèmes posés par les dépassements démesurés et parfois hors norme", le Conseil national se dit partie prenante des procédures créées par la loi HPST de 2009 pour mettre rapidement "leurs auteurs devant leurs responsabilités et les amener soit à rentrer dans des normes raisonnables et admissibles, soit à encourir des sanctions disciplinaires sévères". Il renvoie surtout la balle dans le camp de la Sécu en lui reprochant justement de freiner la mise en place de ces nouvelles dispositions !

Derrière ces débats, il y a de difficiles négociations en cours sur les conventions médecins-Assurance maladie… Espérons surtout que grâce à la révélation des tarifs prohibitifs pratiqués par certains, les patients ne feront bientôt plus les frais du mauvais statu quo de ces dernières années.

 

En savoir plus

  • Conseil National de l'Ordre des médecins
    Informations sur la définition des honoraires avec "tact et mesure".

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 19:00

 

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Les génériques : qui croire ?

rédigé le 28 février 2012 par La rédaction de Bonjour-docteur, mis à jour le 28 février 2012 

 

Les médicaments génériques se retrouvent à nouveau au centre de la polémique. Remis par l'Académie de médecine, un rapport invite à la prudence. Pourtant les instances de santé incitent régulièrement les médecins à prescrire des génériques à leurs patients. Alors, qui doit-on croire ?

 

 

 

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-les-generiques-qui-croire--6254.asp?1=1

 

Interview du Pr. Jean-François Bergmann, médecin et professeur de thérapeutique à l'université Paris VII - Diderot, sur le plateau du "Magazine de la santé", le 28 février 2012.

 

 


Les génériques sont des copies de médicament dont le brevet est tombé dans le domaine public. Mais selon l'Académie de médecine, ils ne seraient pas si conformes à leur modèle et certains présenteraient même des risques allergiques.

Le Pr. Jean-François Bergmann revient sur la polémique. Selon lui,  "il ne faut pas [se méfier des génériques] plus qu'il ne faut se méfier des médicaments. Il y a des petites différences, mais elles sont parfois en faveur du générique, parfois en faveur du princeps. Mais le produit de base est le même". "C'est un sujet extrêmement polémique", mais le rôle du médecin est "d'éduquer son patient à la prise de génériques sans pour autant le forcer à en prendre".


En savoir plus

 

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 16:48

 

 

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Vers la fin des médecins de nuit ?

rédigé le 20 février 2012 par La rédaction d'Allo-docteurs, mis à jour le 21 février 2012

 

Trouver un médecin en pleine nuit risque de devenir compliqué. En tout cas dans certaines régions. En cause : une réorganisation de la permanence des soins. Reportage dans le Nord-Pas-De-Calais.

 

 

Voir un  médecin à tout heure du jour et de la nuit… C'est ce qu'on appelle la permanence des soins. Un dispositif qui devrait être remanié dans les mois qui viennent. Résultat : dans certaines régions, les Agences régionales de santé, qui pilotent le système pourraient supprimer les indemnités versées aux médecins en compensation de leurs nuits de garde.

Même si cette décision n'empêchera pas les médecins volontaires de continuer à assurer ces gardes de nuit, elle pourrait entraîner à terme la quasi-impossibilité de joindre un médecin entre minuit et 8 heures du matin, notamment dans les régions déjà en pénurie de praticiens à ce jour.

Les patients auraient le choix entre se contenter d'un conseil téléphonique… ou se rendre aux urgences hospitalières. Cette réorganisation devrait s'appliquer aux régions Nord-Pas-de-Calais, Poitou-Charentes, Auvergne et Centre.

 

En savoir plus


Dans les médias :

Sur Allodocteurs.fr :

 

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-vers-la-fin-des-medecins-de-nuit--6088.asp?1=1

 

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 16:41

rédigé le 21 février 2012 par La rédaction d'Allodocteurs.fr, mis à jour le 21 février 2012

 

 

L'organisation qui vient en aide aux plus démunis tire la sonnette d'alarme et dénonce les dysfonctionnements du système de santé en France. A deux mois des élections présidentielles, Médecins du monde lance une campagne de communication nationale, qui entend mettre les candidats face à leurs responsabilités.

 

 

Un système de santé solidaire malade


Des centres d'accueils débordés, où 85 % des patients n'ont aucune couverture maladie, où deux tiers des enfants de moins de 7 ans ne sont pas à jour dans leurs vaccinations et où 68 % des femmes enceintes n'ont pas accès aux soins prénataux… Les chiffres présentés par Médecins du monde parlent d'eux-mêmes.

La France, détentrice du meilleur système de santé au monde ? Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'association n'y croit plus. Et face à une situation qu'elle juge très critique, l'organisation interpelle les candidats à l'élection présidentielle. Et veut ouvrir le débat…

 

Une politique qui rend malade


La faute à qui ? Dans cette dégradation de la situation, les responsables de l'ONG ont désigné leur coupable : ils pointent du doigt la politique gouvernementale menée depuis plusieurs années, et entamée bien avant l'arrivé de la crise financière. Une politique, selon Médecin de monde, destructrice de santé publique et pourvoyeuse de ruptures d'arrêt de traitements. Le gouvernement, et ceux qui l'ont précédé, auraient privilégié l'approche financière du soin et la gestion répressive des situation de détresse.

Pour renverser la tendance, les demandes de Médecins du monde sont précises. L'organisation exhorte les politiques à supprimer les "barrières" qui empêchent les étrangers en situation irrégulière et les plus fragiles d'accéder correctement aux soins. Ce qui passe par un assouplissement des conditions l'accès à l'AME (aide médicale d'Etat), qui n'ont fait que se durcir ces dix dernières années. Médecins du monde dénonce des situations absurdes, qui voient des personnes sans ressources car trop pauvres pour avoir le droit à la CMU et trop "riches" pour pouvoir se payer une mutuelle complémentaire…

L'association appelle aussi les politiques à cesser les prises de décisions sécuritaires et stigmatisantes, qui vont à l'encontre de la santé publique. Ce sont en effet les plus précaire qui sont victimes des politiques répressives. Médecins du monde réclame, entre autres, l'abandon du délit de racolage passif et l'arrêt des expulsions pendant les campagnes de prévention et de vaccination.

Les politiques publiques de logement, qui n'assure plus la protection minimale des personnes vivant dans la rue ou dans un logement précaire, seraient également un non-sens en matière de santé publique

 

 

Campagne nationale


Une campagne de sensibilisation en presse nationale et en affichage sera lancée la semaine du 27 février 2012. Avec ces photos montrant des têtes de "Marianne" sur des corps affaiblis et malades, où des corps de femmes enceintes, accompagnés de chiffres chocs, l'association veut frapper fort. Un tour de France des « roulottes Médecins du Monde », au départ de Lyon les 7 et 8 mars 2012, ira aussi à la rencontre des citoyens et des candidats, pour parler de la santé des plus démunis. De quoi nous amener à réfléchir à l'état de notre système de santé. Et faire notre choix électoral de manière (encore plus) éclairée.

 

 

En savoir plus

 

 

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-medecins-du-monde-interpelle-les-candidats-a-la-presidentielle-6173.asp?1=1

 

 

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 16:27

rédigé le 23 février 2012 par Géraldine Zamansky, mis à jour le 23 février 2012

 

 

10 % des chirurgiens des hôpitaux publics opèrent une "clientèle privée" à laquelle ils demandent jusqu'à dix fois le tarif remboursé par l'Assurance-maladie, selon une enquête publiée par le magazine 60 millions de consommateurs. Ces dépassements participent au développement inquiétant d'une médecine à deux vitesses.

Sommaire

 

Honoraires à l'hôpital : quels dépassements ?

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-des-tarifs-chirurgicaux-abusifs-a-l-hopital-public-6199.asp?1=1

Reportage vidéo du 23 février 2012

 

 

S'agirait-il d'abus de faiblesse caractérisé ? Pour être sûr d'être opéré par des mains expertes, pour éviter d'attendre et de souffrir pendant des mois supplémentaires,… et faute d'oser dire "non, c'est trop", des milliers de patients paient chaque année des factures très élevées au sein d'hôpitaux publics où ils pensaient être à l'abri de la logique lucrative des cliniques.

 

Le magazine 60 millions de consommateurs publié par l'Institut National de la Consommation (INC) révèle les sommes prohibitives réclamées par certains chirurgiens. Le service d'orthopédie de l'Hôpital Cochin à Paris figure parmi les records recensés avec une note de 4 250 euros pour une pose de prothèse de hanche. Près de dix fois le tarif conventionné, c'est-à-dire validé par l'Assurance-maladie pour le remboursement des patients, qui est de 459,80 euros.

 

"Tact et mesure" ?


Ces dépassements d'honoraires sont de plus en plus dénoncés par les autorités sanitaires et par la Sécurité sociale elle-même. La Caisse nationale d'Assurance-maladie a ainsi annoncé (AFP), ce mois de janvier 2012, avoir lancé l'examen des pratiques de 28 médecins hospitaliers ayant une activité libérale à l'hôpital, principalement à Paris, Lyon et Marseille. Ils ont dû recevoir ces dernières semaines une demande de justification avant un éventuel signalement à l'Ordre des médecins. La Sécurité sociale doute en effet du respect du "tact et de la mesure" prévu par le code de déontologie. Une règle qui laisse place à toutes les interprétations : d'aucuns affirmeront ainsi que 4 250 euros la prothèse de hanche pour une personne dont la fortune est immense représente un tarif parfaitement "mesuré" !

Réglementairement, les médecins hospitaliers ne doivent pas consacrer plus de 20 % de leur temps et plus de 50 % de leurs actes et consultations, en nombre, à leur clientèle privée. En 2005, le Dr Hervé Boissin qui venait d'intégrer la Commission d'activité libérale de l'AP-HP, justement chargée de contrôler ce secteur, annonçait "quelques brebis galeuses (…). Une dizaine dépassent les 50 % de privé et cinq enquêtes" étaient en cours… Depuis, les Agences Régionales de Santé (ARS) ont vu le jour. Alerté sur ces situations inquiétantes, le directeur de l'ARS d'Ile-de-France, Claude Evin, a annoncé en octobre 2011 qu'il allait "s'emparer du problèmes des dépassements d'honoraires des médecins spécialistes très fréquents en région parisienne."

L'examen des pratiques libérales à l'hôpital est donc en cours et l'Agence semble déjà constater la nécessité d'améliorer la qualité des rapports réalisés par les commissions qui recensent normalement tout ce qui se passe au sein des établissements.

 

 

Un millions d'euros par an


Comment le service public peut-il ainsi accepter en son sein des pratiques aussi éloignées de sa mission originelle ? En partie par intérêt financier puisque l'établissement perçoit une partie des revenus "privés" perçus par les médecins en dédommagement des locaux et personnels mobilisés… Et à l'heure où les hôpitaux souffrent budgétairement, cet argument n'est pas forcément négligeable, surtout lorsque les montants atteignent plusieurs dizaines de milliers d'euros par praticien. Selon le Magazine 60 Millions de consommateurs, ils représenteraient par exemple au CHU de Nice 75 000 euros en moyenne pour 48 médecins, avec un record de 450 000 euros pour l'un d'entre eux. Chacun versant en moyenne 20 000 euros de redevance au CHU.

La notoriété de certains praticiens entre aussi en ligne de compte et rend difficile leur "réprimande" par la direction administrative… Ce système dérogatoire qui a été créé en 1958 pour sauver l'excellence hospitalière et permettre à tout le monde d'être bien soigné en évitant le départ des "meilleurs" vers les cliniques privées serait donc aujourd'hui détourné par un trop grand nombre de chirurgiens.

 

 

La Fédération hospitalières de France, qui représente l'ensemble des établissements publics, "condamne fermement les excès révélés" tout en affirmant "qu'ils ne concernent que quelques individus très minoritaires." Elle appelle néanmoins notamment les candidats à l'élection présidentielle à "encadrer strictement les dépassements d'honoraires, dans le public mais également dans le privé."

Davantage de volonté politique faciliterait sans aucun doute le respect des règles. Sans oublier, en parallèle, une réflexion de fonds sur les conditions de rémunération et de travail à l'hôpital public pour limiter les risques de dérives.

 

 

 

 

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-des-tarifs-chirurgicaux-abusifs-a-l-hopital-public-6199.asp?1=1&IdBloc=1

 

 

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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 17:06

 

logo la maison de gardanne Etablissement de Soins Palliatif

 

 

 

De la lutte contre le sida, de la proximité avec les personnes malades est née l'envie, fin 1992 de créer un lieu pour accompagner, prendre soin des personnes en fin de vie (quelle que soit leur pathologie), et accueillir, intégrer, soutenir leurs familles, leurs amis. Se constitue progressivement l'équipe qui va ouvrir la première Maison à Gardanne, puis l'équipe doublera en Novembre 2003 et déménagera pour accueillir 24 personnes.

 

 

La Maison, centre de soins palliatifs, a depuis 1994 , pour objectifs d'être :
  • un lieu qui permette aux personnes malades de " s'habiter " jusqu'au bout de leur vie,
  • un lieu où les personnes malades et leurs proches se sentent pris en compte ,
  • un lieu qui favorise le soin dans la dimension unique et mystérieuse de chacun….sans oublier la notion de plaisir qui nous anime lorsque l'on dépasse les apparences pour toucher et être touché par la personne.

 

 

http://www.lamaisondegardanne.org/

 

 

 

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 19:48

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Patient-médecin : un couple en crise
rédigé le 19 janvier 2012 par La rédaction Bonjour-docteur, mis à jour le 19 janvier 2012

D'après une récente étude, les Français ne feraient pas assez confiance à leurs généralistes et spécialistes pour protéger le secret médical et leur vie privée. La crainte des patients dans le respect de la confidentialité est-elle justifiée aujourd'hui en France ? Entretien avec le Dr Jean-Paul Hamon, médecin généraliste, président de la Fédération des médecins de France.

 

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-patient-medecin-un-couple-en-crise-5816.asp?1=1

- Entretien avec le Dr Jean-Paul Hamon, invité du Magazine de la santé, le 19 janvier 2012 -

Dr Jean-Paul Hamon

Médecin Généraliste

PRESIDENT DE LA FEDERATION DES MEDECINS DE FRANCE

LE JOURNAL -   DOIT ON TOUT DIRE A SON MEDECIN ?

 

 

Il y a comme un air de crise dans la relation médecins-patients. La confiance est en recul : plus d'un Français sur deux… ne dit pas tout à son médecin, quand il s'agit d'une maladie considérée comme sensible. Les patients craignent pour le respect de la confidentialité des informations sur leur santé. Un sur cinq irait jusqu'à décaler le moment de consulter pour conserver le secret.

Beaucoup n'auraient pas confiance non plus dans la confidentialité des établissements puisque 40 % des patients seraient prêts à parcourir plus de 50 km pour éviter d'être soignés dans un lieu où ils ne se sentent pas en confiance.

De façon plus générale, seulement deux tiers des patients français croient en la protection de leur dossier médical et vie privée. Ces constats sont le résultat d'une étude indépendante d'un organisme privé (FairWarning), menée auprès de plus 1000 patients sur Internet, au mois de septembre 2011. Mais toutes ces réticences, notamment le fait de taire quelques détails sur sa condition médicale, comporte des risques.

 

 

En savoir plus
Allodocteurs.fr :
- Secret médical : peut il être levé ? http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-secret-medical-peut-il-etre-leve--4524.asp?1=1


- Patients, connaissez-vous vos droits ? http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-patients-connaissez-vous-vos-droits--4235.asp?1=1

Conseil de l'Ordre national des médecins
Le secret professionnel http://www.conseil-national.medecin.fr/article/article-4-secret-professionnel-913

 

 

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