Le 14 octobre prochain, WECF organise à l’hôtel de ville de Lyon, dans le cadre de l’étape lyonnaise du Ruban de l’Espoir 2014, un colloque sur le thème "Cancer du sein, santé reproductive des femmes et perturbateurs endocriniens". Une journée pour découvrir les données scientifiques de pointe sur le sujet, dialoguer avec des équipes de recherche et acteurs de la lutte contre le cancer, professionnels de santé, pouvoirs publics, associations de malades et acteurs locaux impliqués sur le terrain sur les pistes concrètes à mettre en œuvre pour faire de la prévention primaire une réalité.
Une occasion unique de rencontrer des intervenants de renommée internationale qui ont répondu à l’invitation de WECF :
Patrice Sutton, MPH, scientifique au sein du Programme de santé reproductive et d’environnement de l’Université de Californie San Francisco. Patrice Sutton a plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de la recherche en santé environnementale et au travail, hygiène industrielle, pratique de santé publique, développement des politiques et plaidoyer prenant en compte la dimension communautaire et a travaillé avec le département santé de l’Etat de Californie entre 1987 et 2006. Elle est l’auteure de plus de 30 articles scientifiques publiés dans des revues à comité de lecture et de rapports techniques gouvernementaux.
Janet Ackerman, scientifique qui travaille au sein du Silent Spring Institue depuis 2010, travaillant actuellement avec l’Université de Berkeley et l’EPA pour développer des méthodes chimiques de tests applicables au cancer du sein. Impliquée également dans des projets visant notamment à comprendre les impacts des expositions précoces sur le développement mammaire et le risque de cancer du sein notamment.
Participent également à l’évènement des acteurs de premier plan de la recherche et de la lutte contre le cancer de la région lyonnaise :
Professeur Véronique Trillet-Lenoir, présidente du Comité directeur du Cancéropôle Lyon Auvergne Rhône-Alpes et professeur de cancérologie à l’Université Claude Bernard Lyon
Dr Béatrice Fervers, Centre Léon Bérard, Praticien spécialiste de Centre de Lutte Contre le Cancer, Directrice adjointe du Département Cancer et Environnement/Economie de la Santé au Centre Léon Bérard
Dr Pascale Mirakian, Médecin endocrinologue et gynecologue, spécialiste en médecine de la reproduction, Hôpital privé Natecia
Découvrez l’ensemble des intervenants le programme ci-dessous.
Une manifestation organisée avec le soutien de l’Insitut National du Cancer, de la European Environment and Health Initiative et du Ruban de l’Espoir.
Olivier Chaput, Françoise Sellin, Bénédicte Van Craynest
Ruban de l'Espoir 2013
En2010 le Chef de cuisine Olivier Chaput, touché de près par le cancer du sein, décide de créer un agenda, « L’AGENDA ROSE ». Il choisit de marquer les esprits en photographiant ses recettes devant des bustes de femmes nues.Tous les fonds récoltés sont reversés à l’association “LE CANCER DU SEIN, PARLONS-EN !” et sont destinés à aider la recherche.
En2011, Olivier Chaput relève à nouveau le défi ! Cette fois il choisit de faire appel à ses amis chefs pour la création de l’agenda 2012 «MERCI POUR ELLES», une façon d’unir les forces de chacun pour pouvoir faire encore plus parler de cette noble lutte. L’agenda rassemble 12 chefs qui offrent chacun une de leurs recettes pour lutter contre le cancer du sein.
Ces 12 Chefs ne sont autres que : Chloé Baeyaert, Sandrine Baumann-Hautin, Sébastien Buecher, Hermance Carro, Olivier Chaput, Nicolas Fix, Stéphanie Lequellec, Chloé Saada, Nadia Sammut, Reine Sammut, Georgiana San et Ludovic Turac.
Pour2012, avec force et détermination, Olivier Chaput a su fédérer toute une équipe autour de lui grâce à laquelle la troisième édition de l’agenda, “L’AGENDA DES CHEFS 2013”, a pu voir le jour.
En 2012, les 12 chefs de “L’AGENDA DES CHEFS 2013” à rejoindre l’aventure sont : Alexis Braconnier, Hermance Carro, Olivier Chaput, Christian Constant, Stéphane Dozier, Nicolas Fix, Sylvie Grucker, Sophie Menut, Michel Roth, Nadia Sammut, Norbert Tarayre et Carinne Teyssandier.
Quatrième édition de l’Agenda des Chefs, l’année, 2013 marque un grand coup avec la présence, non pas de 12 Chefs mais 24 ! Le mouvement grandit de façon exponentiel, tout comme la détermination d’Olivier Chaput, qui cette année encore compte sur vous !
Voici la liste des 24 Chefs, qui ont décidé cette année de lutter contre la maladie avec gourmandise et solidarité:Julien Binz-Sandrine Kaufer, Philippe Cadeau-Christian Constant, Yadira Deffradas-Sylvain Rebulard, Nicolas Fix-Nicolas Rieffel, Louise Denisot-Sophie Menut, Nadia Sammut-Reine Sammut, Jean-Yves Corvez-Tiphaine Corvez, Aurore Piva-Julie Rivière, Maxime Meilleur-René Meilleur, Hermance Carro-Quentin Joplet, Philippe Gardette-Francis Miot et Olivier Chaput-Tiffany Depardieu.
Cette année tous les fonds sont reversés directement à l’association “Pour Elles” pour combattre cette terrible maladie. Aujourd’hui en France, une femme sur huit risque de développer un cancer du sein.
“L’AGENDA DES CHEFS 2014”est en vente depuis du 1er
Sandrine Kauffer / Directrice du journal de Julien Binz :
« L’agenda des chefs est une formidable initiative, un outil de communication utile pour prévenir et donc aider à mieux guérir le cancer du sein en particulier, mais tous les cancers en général. Chaque année, j’en achète pour ma famille et mes amies. C’est aussi une façon de leur dire que je tiens à Elles et qu’elles doivent prendre soin d’Elles.
Le contenu de l’agenda est très pertinent. Des recettes, des mémos, des alertes rendez-vous avec le médecin, une couleur rose féminine, des chefs de cuisine, une présentation ludique pour évoquer néanmoins un sujet sérieux et dangereux qu’il faut médiatiser.
Participer à cette aventure collective est une manière d’être active face à la maladie,une forme de militantisme en faveur de la santé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Aujourd’hui le cancer du sein concerne 1 femme sur 8 ! Et plus un cancer du sein est détecté tôt (- de 2 cm), plus les chances de guérison sont importantes.
Depuis 2010, le journal de Julien Binz soutient l’initiative et les actions d’Olivier Chaput.
J’ai été sensibilisée par son histoire personnelle et les fonds récoltés serviront à financer la recherche pour dépister et lutter contre cette maladie.
Cette cause réunit mon univers professionnel (journal gastronomique) et personnel (la femme que je suis).
Faby Perier et moi, c’est une longue histoire… de rendez-vous manqués. Depuis 2008, elle m’envoyait régulièrement des messages pour que nous nous rencontrions et qu’elle m’explique son travail. J’avais compris qu’elle interprétait une chanson qui évoquait son cancer. Je n’avais pas creusé et je dois dire que j’étais peu enthousiaste à l’idée de la mandoriser. La maladie, inconsciemment, me rebutait. Je ne me le suis pas avoué ainsi, mais au fond, mon refus venait de là. Et puis, un jour, le cancer a emporté ma sœur. Le cancer, je l’ai regardé en face en le traitant de connard. Ma mère, ma sœur… ça suffit comme ça !
L’homme est un sale égoïste, il s’intéresse à des trucs uniquement quand il est concerné.
Et Faby m’a recontacté une énième fois. J’ai approfondi mes recherches sur elle et j’ai compris qu’elle faisait beaucoup pour la lutte contre le cancer (du sein notamment). Et j’ai compris qu’il était temps de se croiser.
Ainsi fut fait à l’agence le 16 septembre dernier…
(De plus, durant ce mois d’octobre, c’est l’opération Octobre Rose. Pour la 20ème année consécutive en France, la campagne de lutte contre le cancer du sein, organisée par l'association "Le Cancer du Sein, Parlons-en !" vous propose de lutter contre le cancer du sein en vous informant et en dialoguant. Convaincre les femmes du rôle primordial du dépistage précoce et faire progresser la recherche, telle est la vocation de cette campagne et de l'Association. Pour en savoir plus, voir là. Faby Perier va beaucoup chanter pour Octobre Rose durant cette période. Voir ici)
Biographie officielle :
Ce n'est pas un hasard, si l'univers de Faby est empreint de la sensibilité d'une femme qui a croisé aux détours de rencontres les bouleversements de cette vie qui nous touche, nous surprend et à laquelle nous tenons tant.
Après une enfance bousculée, une éducation musicale plutôt classique où elle apprend le piano, le violoncelle et la guitare, Faby découvre la pop music et la chanson française grâce à des artistes de pianos-bars ; elle comprend alors que les textes sont aussi porteurs d'émotions.
En 2003, l'envie d'écrire devient de plus en plus présente et c'est avec sa sœur jumelle qu'elle écrira à quatre mains l'album "Authentique". Pourtant, cet album ne lui ressemble pas vraiment et l'envie de se retrouver seule devant sa page blanche se révèle à elle comme une évidence.
C'est ainsi qu'en avril 2008, son deuxième album Au nom de celles voit le jour. Un album résolument féminin où elle chante avec une tendresse perceptible, les femmes, l'amour, la vie, ses bonheurs, ses douleurs, de toute la puissance de sa sincérité.
Cet album n'aurait dû être que la réalisation de son rêve qu'elle voulait partager avec le public. Mais la vie en a décidé autrement... Elle apprend en avril 2008 qu'elle est atteinte d'un cancer. Pourtant malgré cette épreuve difficile, elle n'a de cesse que de croire en l'avenir pour atteindre ce rêve.
Son troisième album Au fil de nos viescommence à se dessiner en 2009 et le premier "Ce matin-là" nait de l'annonce de sa rémission du cancer du sein, l'épreuve qu'elle a rencontrée. Au fil des interviews radio, des échanges sur la toile, ce titre est devenu l'emblème de toutes ces personnes qui se battent contre le cancer. Des internautes fans s'emparent de cette chanson-hymne, la partagent sur les réseaux internet et la font découvrir aux associations de lutte contre le cancer pour lesquelles Faby se mobilise également fréquemment.
Faby se mobilise toujours auprès des associations de lutte contre le cancer et est la marraine d'une association qui a pour but d'offrir des places de spectacles aux personnes qui ont rencontré l'épreuve du cancer.
Interview :
J’ai l’image de vous de « la chanteuse qui chante pour lutter contre le cancer », ce qui est parfaitement réducteur parce que vous chantez depuis 15 ans.
J’étais chanteuse de piano-bar. J’ai sorti il y a longtemps un premier album auto produit en 2003. Je l’ai écrit avec ma sœur jumelle et je ne m’y retrouvais pas du tout. Et en 2008, juste avant que j’apprenne que j’ai un cancer, j’ai préparé un album en auto production. Je n’ai rien fait avec parce que j’ai reçu l’album pressé au moment où je venais de me faire opérer d’un cancer du sein. Ce que j’avais écrit, du coup, n’avait aucun sens par rapport à ce que je vivais.
Alors, peu de temps après, vous avez écrit une chanson, « Ce matin-là », qui raconte votre histoire, votre cancer, et ce de manière frontale.
Je crois qu’il faut parler de sa maladie. J’ai essayé de toucher les gens en racontant comment j’ai vécu l’annonce du cancer. Quand je vois les campagnes à la télé, je trouve qu’elles ne sont pas touchantes et surtout, on n’arrive pas à se dire que ça peut nous arriver.
Le clip de "Ce matin-là".
De livrer sa vie en chanson, ça a été un exutoire pour aller mieux?
Ce n’est même pas ça. J’ai appris que j’avais un cancer au mois d’avril 2008, je suis rentrée à l’hôpital au mois d’octobre 2008 et j’ai appris que j’étais en rémission. En sortant de l’hôpital, j’ai libéré ce que j’avais dans les tripes. J’ai écrit cette chanson et, très vite, j’ai eu le besoin irrépressible de l’enregistrer en studio. Quand je l’ai enregistrée, je sortais de traitement, donc je n’avais pas beaucoup de souffle, mais j’ai toujours souhaité garder cette version-là.
Pendant les 6 mois où vous avez été malade, vous n’avez rien dit à personne.
Je me suis éloignée de tous quand j’étais en plein dans la maladie. Dès que j’ai su que j’étais en rémission, je me suis dit que j’allais communiquer sur cette maladie. Je me suis servie de ma condition d’artiste pour faire passer un message.
Beaucoup de gens ont apprécié cette chanson.
Beaucoup de femmes qui ont traversé cette épreuve considèrent que je suis leur porte-parole.. Elles voient que je suis encore là, bien vivante et que je fais des choses.
Vous allez bien ?
Je réponds toujours que je vais bien aujourd’hui. Avec toujours la peur au ventre.
Pour moi, votre nom est associé à la lutte contre le cancer. Vous n’avez pas peur d’être cataloguée ?
J’ai fait ce choix-là. Disons que ce choix s’est imposé à moi. Tant pis si c’est compliqué. Je suis une femme qui accepte les défis et qui va au combat. Après, ça devient compliqué de faire découvrir son univers en dehors de la lutte contre le cancer. Mais, les artistes sont parfois là aussi pour mettre sous les projecteurs des choses difficiles.
Vous n’avez pas peur que ce soit un peu anxiogène ?
Vous savez, dans mon répertoire, il y a des chansons qui parlent d’amour et des chansons qui parlent de la vie. De toute manière, la vie est plutôt anxiogène.
On a justement peut-être besoin d’en sortir, non ?
Quand on regarde quelqu’un comme Renaud, il n’a jamais fait des chansons qui étaient très gaies. Tout le monde connait Renaud et beaucoup l’aiment.
C’était plus des chansons sociétales, la maladie, ça fait peur.
Mes chansons ne sont pas faites pour faire peur, mais pour donner de l’espoir. J’ai écrit « Ce matin-là », par exemple, pour dire au gens que ça n’arrive pas qu’aux autres. Elle peut servir aussi aux associations qui luttent contre cette maladie et qui ont besoin d’une chanson. Elle est une sorte d’hymne. La ligue contre le cancer la reprend régulièrement…
Que pensez-vous des chaînes féminines sur Facebook pour la prévention du cancer du sein. Celles où on donne la couleur de son string par exemple. Moi, ça m’exaspère, je me suis fait houspiller quand j’ai dit ça sur mon mur.
Très honnêtement, je ne suis pas contre… On peut considérer que ça n’apporte pas grand-chose, mais si. Ça apporte l’échange.
Moi, j’ai contesté le fait que les hommes soient bannis de cette histoire-là.
Ça, c’est vrai que c’est un peu con parce que le cancer du sein touche aussi les hommes. Mais, mon avis est qu’on ne peut pas être contre quelque chose qui amène à la discussion.
Je trouve que c’est mieux d’être plus direct.
Oui, mais autour du cancer, les gens ont du mal à être directs. Le cancer est extrêmement tabou. On le voit bien ne serait-ce qu’en regardant la communication faite par certaines associations.
Revenons à vous. Psychologiquement, quand vous allez chanter là où il y a des malades, comme ça vous arrive souvent, ce n’est pas un peu lourd à porter, à voir, à supporter ?
C’est dur, mais si pour ces personnes malades ce sontt trois minutes de bonheur et d’espoir, c’est trois minutes de gagnées. J’ai choisi le fait d’être porte-parole, il faut que j’assume le fait que ce n’est pas toujours simple. Mais, je dois aussi préciser que cela me donne beaucoup aussi.
Oui, on organise des évènements, des spectacles avec le soutien d'artistes et de partenaires pour permettre d'offrir le divertissement aux personnes qui ont rencontré l'épreuve du cancer. On est à la recherche de salles de spectacles qui nous offrent des places de spectacles gratuits. On essaie de faire des évènements où je suis en avant et des évènements où il y a plusieurs artistes.
Votre 4e disque va sortir bientôt, car je crois que vous avez trouvé le financement nécessaire sur Ulule.
En 32 jours la somme était réunie grâce aux internautes. Je suis en train de terminer l’album. J’espère qu’il sera pressé pour le 25 octobre.
Vous êtes la seule chanteuse a parler du cancer. Je sais que d’autres ont cette maladie et se taisent.
Je pense que c’est difficile à porter. On m’a dit plein de fois que je faisais une connerie d’en parler et que je foutais ma carrière en l’air. Moi, je pense qu’il faut parler de la différence et ne pas la cacher. Je suis une femme de combat, je viens de la DASS et j’ai un passé un peu lourd, alors je me moque de ce qu’on dit de moi.
Vous n’avez pas envie de poser les valises ?
Si, parfois. J’aimerais trouver quelqu’un qui s’occupe de moi pour que je puisse vraiment me consacrer à ma carrière artistique et aux messages que je veux faire passer. Je suis ma propre attachée de presse et je suis lasse de cela. J’en ai ras le bol parce qu’un artiste qui doit se vendre lui-même, c’est contre nature.
Petits bibis pour le confort et le réconfort - Saint-Herblain
samedi 05 octobre 2013
Dans le hall de l'ICO, Gaëlle Le Corvec a fait une démonstration d'un bonnet de lutin aux côtés de Dolorès Mari, l'une des couturières.
L'exposition de chapeaux se déplace de Gauducheau à la Maison des arts, pour la journée d'accueil des Rubans de l'espoir.
À l'initiative d'Isabelle Thebault, responsable de l'Espace rencontre information (Eri), de l'Ico (Institut de cancérologie de l'Ouest) Gauducheau, une vingtaine de couturières herblinoises ont confectionné des chapeaux, turbans et autres bonnets à destination des patientes. « Ils seront mis à disposition du service social de l'hôpital pour les femmes qui en ont besoin. C'est une action de solidarité entre femmes, tout comme l'est le partenariat entre la ville et l'Ico pour la sixième édition, lors de cette journée d'Octobre rose : Être femme, tout un art. »
Une délégation de la flamme du Ruban de l'espoir sera accueillie à la Maison des arts. « Je leur remettrai les rubans roses cousus en banderole, sur lesquels les femmes atteintes du cancer du sein ont brodé, dessiné, cousu ou écrit quelques mots. Et l'ensemble sera déroulé à Paris, le 19 octobre. »
Puis, dans le cadre des Mercredis curieux, Julien Zerbone présentera le travail d'Anna Halprin, une chorégraphe américaine qui a dû adapter sa danse aux contraintes de la maladie. Et la compagnie Voix émoi proposera L'amour et la vie d'une femme, un récital de mélodies de Schumann avec Emilie Dhumerelle, danseuse-chorégraphe, Hermine Théard, pianiste et Marie-Pierre Blond, soprano.
Mercredi 9 octobre, à 17 h 30, accueil des Rubans de l'espoir ; à 18 h 30, Mercredi curieux ; de 20 h 30 à 21 h 30, récital. Gratuit. Jeudi 17 octobre, de 14 h à 16 h, conférence sur la douleur à l'Ico.
Exposition Les petits bibis, hall d'accueil de l'Ico, jusqu'au 31 octobre.